La Phalange Liturgique
« N’est-il pas évident que les hommes, attachés aux sens et dont la raison est faible, ont encore plus besoin d’un spectacle pour imprimer le respect d’une majesté invisible et contraire à leurs passions, que pour leur faire aimer une majesté visible qui éblouit leurs faibles yeux, qui flatte leurs passions grossières ? On sent la nécessité du spectacle d’une cour pour un roi, et on ne veut pas reconnaître la nécessité infiniment plus grande d’une pompe pour le culte divin. C’est ne pas reconnaître le besoin des hommes »
Fénelon, Lettres sur la métaphysique.
La femme et l’homme doivent cultiver des vertus propres, l’homme a beaucoup à faire dans celles qui relèvent de l’autorité : la prudence, la force, la bienveillance, la magnanimité. La femme doit rechercher sa force dans les vertus qui s’attachent à l’humilité : l’obéissance, le respect, le silence, la piété, la pudeur. Elle doit généralement se contenter de la mission que lui demande son foyer, ou alors s’y préparer.
De même, homme et femme ne sont pas seulement différents et complémentaire, mais inégaux : la femme est une partie de l’homme, l’homme est le tout, puisque dans la nature, il y a une perfection que l’homme a, et que l'a femme n’a pas.
Saint Paul s’adresse aux époux : En avertissant l’homme il lui demande d’aimer, lui pour qui c’est une tâche ardue, il a en effet bien vite pris l’habitude d’un orgueil égoïste. À la femme il demande d’obéir, c’est là son combat, nous ne saurions résoudre cette cette difficulté en l’effaçant, mais il faut la prendre à bras le corps.
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